Erró
Guðmundur Guðmundsson, connu plus tard sous le pseudonyme de Ferró, puis d’Erró, naît le 19 juillet à Ólafsvík, dans le nord-ouest de l’Islande.
Chronologie
1932
Guðmundur Guðmundsson, connu plus tard sous le pseudonyme de Ferró, puis d’Erró, naît le 19 juillet à Ólafsvík, dans le nord-ouest de l’Islande. Il est le fils de Soffía Kristinsdóttir et de Guðmundur Einarsson frá Miðdal, artiste peintre reconnu. Peu après sa naissance, sa mère l’emmène vivre avec elle à Reykjavík, puis dans le sud de l’Islande où elle épouse Siggeir Lárusson, fermier à Kirkjubæjarklaustur, en 1936. La famille s’agrandit progressivement avec les naissances de Lárus, Kristinn et Gyða.
1942-1946
À Kirkjubæjarklaustur, il dessine et peint – des paysages surtout – sous l’influence du peintre Jóhannes S. Kjarval, qui installe son atelier estival à proximité de la ferme familiale. Il découvre également l’art dans les livres de la bibliothèque de ses parents. Son regard est attiré par les illustrations des sagas islandaises et les fantaisies surréalistes de Pavel Tchelitchev.
1946-1949
Il poursuit sa scolarité à Reykjavík et suit des cours du soir en dessin. Il visite les expositions et s’initie à l’aquarelle à partir de films qu’il emprunte à l’ambassade des États-Unis.
1949-1954
Il est admis à l’École des beaux-arts de Reykjavík où il expérimente, entre autres, la technique des papiers découpés. À Oslo à partir de 1952, il étudie la peinture et la fresque à l’Académie nationale des beaux-arts et se forme en gravure et lithographie à l’École des arts décoratifs et industriels. Il assiste à la restauration d’œuvres de Munch. Des voyages d’études le mènent à Stockholm, à l’occasion d’une rétrospective d’art mexicain, puis en Espagne, où il admire les œuvres de Bosch et du Greco, et en Italie, dont il découvre avec enthousiasme la culture et le mode de vie.
1954-1955
Erró, en route vers l’Italie, visite les musées allemands pour voir les expressionnistes. Il fréquente l’Académie des beaux-arts de Florence et l’École de mosaïque de Ravenne. Il adopte le pseudonyme de Ferró en souvenir d’un village de pêcheurs espagnol (Castell de Ferró) qui l’avait ébloui. Il se lie d’amitié avec l’artiste français Jean-Jacques Lebel qui l’introduit au dadaïsme et au surréalisme.
1956
Sa première exposition personnelle est organisée à la galerie Montenapoleone de Milan où il présente « Les Carcasses », sombres peintures nées de l’étude de Léonard de Vinci, Paolo Uccello, Leonardo Cremonini, Marino Marini et Rufino Tamayo. En décembre, il se rend à Paris avec l’artiste israélienne Myriam Bat-Yosef, qu’il épouse.
1956-1957
De retour en Islande, il réalise les tumultueux dessins de la série « Sur-Atom ». En avril 1957, il expose peintures, mosaïques et dessins à la Maison des Artistes de Reykjavík et exécute durant l’été des panneaux en mosaïque pour le lycée technique ainsi que pour les églises de Hólar et de Patreksfjörður. Il participe au Salon des Surindépendants à Paris.
1958
Il expose au musée national Bezalel de Jérusalem, au musée de Tel-Aviv et au musée d’Art moderne d’Haïfa. Dans l’atelier du peintre Shlomo Zafrir, à Jaffa, il compose ses premiers collages, les dessins-collages tragi-comiques de la série « Démasquez les physiciens, videz les laboratoires » (rebaptisée plus tard « Radioactivity »), intitulée d’après le tract surréaliste parisien du 18 février contre la bombe atomique.
1958-1959
Il s’installe à Paris et, grâce à Jean-Jacques Lebel, rencontre des personnalités liées au dadaïsme et au surréalisme, comme André Breton, Victor Brauner, Marcel Duchamp, Max Ernst, Joan Miró et Wifredo Lam. Il réalise une série de dessins à quatre mains avec Roberto Matta.
1959
Il entreprend une centaine de collages d’illustrations et peint ses premières toiles Meca-Make-Up à partir de « mécacollages » mêlant visages de mannequins et éléments mécaniques. Il utilise des objets et des matériaux de récupération pour réaliser les assemblages « Mecamasks ». Il participe au Salon Comparaisons, à Paris, et à l’exposition internationale du groupe surréaliste « Phases », en Pologne.
1960
Naissance de sa fille, Túra. Il présente « Mécamorphoses », œuvres s’inspirant de l’univers des sciences et des techniques, à Paris, galerie Chirvan où il se lie d’amitié avec l’artiste suédois Öyvind Fahlström lors du vernissage. À Reykjavík où il expose à la Maison des Artistes, Dieter Roth lui suggère de peindre en plus grand les collages restants de la série « Meca-Make-Up ».
1960-1961
En France et en Italie, il participe aux « Anti-Procès », expositions et évènements artistiques contre la guerre d’Algérie, la torture et le racisme. À Milan, sa toile Le Flux de la Sharpeville asexuée, jugée « pornographique », est saisie par la police italienne, de même Le Grand Tableau antifasciste collectif peint avec Jean-Jacques Lebel, Enrico Baj, Roberto Crippa, Gianni Dova et Antonio Recalcati, considéré quant à lui comme offensant la pudeur et la religion.
1961
Il expose à la Galleria del Naviglio de Milan, puis à la Galleria del Cavallino de Venise. À New York, il figure dans « Involvement Show » à la March Gallery, haut-lieu de la contre-culture internationale. Il est invité à participer à la Biennale de Paris et au Salon de Mai, à Paris et à Amsterdam.
1962
À Venise, il diffuse le manifeste Mecanismo, où apparaît la notion de « mécacollage ». Il compose le recueil 100 Poèmes mécanique et le manuel scolaire Mécasciences. Il participe au happening Pour conjurer l’Esprit de Catastrophe de Jean-Jacques Lebel, galerie Raymond Cordier, à Paris. Il crée les décors et accessoires du film expérimental d’Éric Duvivier, Concerto mécanique pour la folie ou La Folle Mécamorphose, réflexion sur le destin de l’homme dans un monde mécanisé.
1963
À Venise, il distribue son catalogue Mecanismo nº 2, qui recense les manifestations de la machine dans l´histoire de l’art. Il inaugure son exposition de la galerie Sydow, à Francfort, avec son premier happening, The Art Critics, acte de révolte contre le marché de l’art. Il expose des toiles récentes à la galerie Saint-Germain, à Paris. Ses peintures accordent désormais une place accrue, voire exclusive, aux images ready-made. Il suit avec intérêt les premiers développements du Pop Art, la nouvelle tendance américaine présentée par la galerie Ileana Sonnabend à Paris.
1963-1964
À New York à partir de la mi-décembre, il côtoie les avant-gardes artistiques grâce à ses amis Robert Cordier, Öyvind Fahlström, Johanna Lawrenson et Jack Youngerman. Il renonce définitivement aux formes et aux figures nées de son imagination et, à partir d’images de masse, compose des collages qui, agrandis à l’aide d’un épiscope, donneront lieu à des tableaux en 1964. Il expose œuvres nouvelles et plus anciennes dans la non-conformiste Gertrude Stein Gallery. Il photographie la performance de Carolee Schneemann, Eye Body. Il participe à un Tableau-Piège de Daniel Spoerri et au décollage-happening You de Wolf Vostell.
1964
À l’American Center de Paris, puis au Denisson Hall de Londres, il réalise le happening Gold Water, virulente satire contre le sénateur réactionnaire et candidat présidentiel américain Barry Goldwater et, plus largement, contre l’engagement du gouvernement américain dans la guerre du Vietnam. Il peint son premier « scape », Foodscape, paysage de victuailles basé sur un collage grand format (2 x 3 m). Il présente l’exposition « Retour d’Amérique », à Milan, galerie Schwarz. Erró et Myriam Bat-Yosef se séparent.
1965
Il visite Moscou pour la première fois. Des expositions personnelles sont organisées à Rome, Reykjavík et Paris. À Paris, il participe à l’exposition de la galerie Creuse, « La Figuration narrative dans l’art contemporain ». Il rencontre Mary Knopka, un mannequin américain, avec qui il vivra jusqu’en 1970.
1966-1967
Il crée les collages puis les tableaux de la série comparative russo-américaine Forty-seven Years. Il réalise plusieurs films, parmi lesquels Stars, un montage de photographies d’actrices de cinéma. En 1967, achève son film Grimace, commencé en 1964, défilement de visages grimaçants d’artistes internationaux. Le film sera distribué aux Etats-Unis en 1968 par la Film-Makers’ Cooperative.
1967
À La Havane, il participe à l’exécution du Mural collectif de Cuba, grande spirale peinte en hommage à la Révolution cubaine et à Fidel Castro. Suite au procès intenté par son homonyme, le peintre français Gabriel Ferraud, il change de nom et devient Erró.
1968
Il compose les American Interieurs, tableaux introduisant des combattants Vietcongs dans des appartements de la middle class américaine. Il dessine anonymement pour l’atelier populaire de l’École des beaux-arts de Paris qui réalise en sérigraphie des affiches politiques lors des évènements de mai 68. Son exposition chez Claude Givaudan, à Paris, consiste en une projection permanente de diapositives de ses œuvres, lesquelles pourront, sur commande, être reproduites en peinture par des professionnels de l’affiche.
1969-1971
Son exposition à l’ARC, musée d’Art moderne de la ville de Paris, lui apporte une reconnaissance internationale. Il joue dans les films Camembert-Martial Extra-Doux et Le Grand Départ de Martial Raysse, ainsi que dans Vacances au Sahara de Valerio et Giancarlo Adami. Il reçoit le prix Cassandra, décerné par la Fondation William Copley de Chicago.
1971
Grâce à une bourse de la DAAD (l’Office allemand d’échanges universitaires), il séjourne et expose à Berlin, galerie Andre. En Espagne, à Formentera (Îles Baléares), il inaugure la maison-atelier où il passera désormais tous ses étés. En novembre, il entame un voyage de huit mois : Afghanistan, Inde, Thaïlande, Singapour, Hong Kong, Indonésie, Japon, États-Unis.
1972-1973
Il réalise les collages et peintures de la série « Made in Japan », associant scènes guerrières de BD américaines et estampes érotiques japonaises, ainsi que ses premiers « Tableaux chinois », qui racontent l’histoire de Mao, conquérant du monde. À Bangkok, il rencontre Vilaï Permchit, jeune veuve et mère d’une fillette, qui s’installera avec lui à Paris. En Thaïlande, où il travaillera chaque année à partir de 1973, il engage des peintres d’affiches de cinéma pour peindre des toiles à partir de ses collages. Il renouvellera l’expérience à diverses occasions.
1975
La première exposition itinérante du Centre Pompidou en France est consacrée à son œuvre. Il compose cent collages pour le projet de réhabilitation du Molino Stucky lancé par la Biennale de Venise. L’exposition « Let’s mix all feelings together: Baruchello, Erró, Fahlström, Liebig » circule en Allemagne et en France.
1976
Ses « Tableaux chinois », montrés au Kunstmuseum de Lucerne en 1975, font étape à Munich, Aix-la-Chapelle, Rotterdam, Paris et New York. Il participe à « 06 Art 76 », exposition itinérante du Centre Pompidou aux États-Unis. Il visite la NASA à Houston, où il obtient des images dont il se servira pour sa série spatiale.
1977
Il figure dans « Mythologies quotidiennes 2 » à l´ARC 2, musée d’Art moderne de la ville de Paris, et dans « Paris – New York (1908-1968) » au MNAM-Centre Pompidou. Galerie Beaubourg, à Paris, il présente « Programme spatial », toiles associant astronautes et nus de l’histoire de l’art.
1978-1979
Des rétrospectives de son œuvre sont présentées à Kjarvalsstaðir, musée d’Art de la ville de Reykjavík et Parco Gallery, à Tokyo et à Sapporo.
1981
Il expose à Zurich, galerie Maeght. Une rétrospective de son travail fait étape en Suède, en Norvège, en Finlande et au Danemark. Il conçoit l’une des quinze affiches officielles de la Coupe du Monde de football 1982.
1982
Il inaugure Hommage à la bande dessinée, fresque murale commandée par la ville d’Angoulême. Galerie Jean Six, à Paris, il réunit des peintures politiques inspirées de caricatures allemandes et soviétiques.
1983
À Bangkok, ses collages lui servent de modèles pour des aquarelles. Il expose des œuvres politiques au Museum Hedendaagse Kunst d’Utrecht. Son Eskimoscape est inauguré à la Bibliothèque nationale du Groenland, à Nuuk.
1984
Il réalise quatre « Scapes » sur le thème de l’automobile pour le département Recherches, Art et Industrie de Renault. À cette occasion, il expérimente un nouveau type de composition spatiale basée sur un modèle 3D de type fil de fer généré par ordinateur. A Genève, la galerie Sonia Zannettacci présente un ensemble de collages et peintures
1985-1986
Il expose l’ensemble des « Scapes », accompagné de collages préliminaires, à L’ARC 2, musée d’Art moderne de la ville de Paris. Le Grand Tableau antifasciste collectif, saisi en 1961, est restitué à ses auteurs. En 1986, il représente l’Islande à la XLIIe Biennale de Venise avec une série de « Scapes ». Il décore un autobus pour la société publique de transport Semurval de Valenciennes.
1987-1988
Pour les murs de la salle du conseil municipal de l’hôtel de ville de Lille, il conçoit une fresque composée de vingt panneaux, qui retrace l’histoire de la ville. L’œuvre est inaugurée en 1988. Il participe à l’exposition « Montage – Démontage » à la Neue Galerie-Sammlung Ludwig d’Aix-la-Chapelle.
1989
Pour le bicentenaire de la Révolution française, il organise à Paris la projection d’un montage de portraits de révolutionnaires sur la façade de l’Assemblée nationale. À l’occasion de son exposition à Kjarvalsstaðir, musée d’Art de la ville de Reykjavík, il fait une importante donation de ses œuvres et de ses archives à la municipalité de Reykjavík.
1990
Il découvre le Viêt-nam et ses sites de guerre. Il prend part à l’exposition « The Nordic 60’s » qui circule dans les pays nordiques. Il figure dans « The New Figuration, Six French Artists Together Again » à la Mayer-Schwarz Gallery de Beverly Hills. Il inaugure deux peintures murales – Les Savants et Les Grands Ingénieurs – à la médiathèque de la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.
1991-1992
Il est invité à la 1re Biennale d’art contemporain de Lyon et, en 1992, participe à l’exposition « Figurations critiques : 1965-1975 » à l’Espace lyonnais d’art contemporain. Au centre culturel Nicolas-Pomel d’Issoire, il montre la série des « Lettres d’amour japonaises ». À la FIAC, Foire internationale d’art contemporain, à Paris, la galerie Montenay expose ses « Mini-Scapes ».
1993-1994
Il visite le Cambodge, puis exécute une grande toile colorée sur les atrocités du régime de Pol Pot, suivie d’une version en noir et blanc. À Paris, il conçoit un panneau mural, consacré à l’histoire de l’art, pour un immeuble du quartier de Bercy. L’exposition « Erró: Art History, Politics, Science Fiction » voyage à Copenhague, Pori, Göteborg et Édimbourg. En 1994, il expose au Ceské Museum Výtvarných de Prague.
1996
Il expose au Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig de Vienne. Ses « Political Paintings » sont montrés au Wilhelm-Busch-Museum de Hanovre et à l’Aktionsforum Praterinsel de Munich puis à Hambourg, Berlin, Belgrade, Budapest et Bratislava en 1997 et 1998.
1997
À Reykjavík, il crée en mémoire de sa tante un prix annuel destiné á récompenser le travail de jeunes artistes islandaises. À la galerie Montenay-Giroux, à Paris, il présente « Les Femmes fatales », série de peintures basées sur des héroïnes de BD.
1998
Au Palais 7 Portes, à la Ravine des Cabris (La Réunion), il installe La Case baba (Maison de poupées), élaborée avec l’aide des élèves des écoles environnantes. À l’occasion de l’Exposition universelle de Lisbonne, il conçoit un mur en céramique sur le thème de la mer pour la station de métro Oriente.
1999
Il conçoit plusieurs œuvres en céramique : Facescape pour Léger et Cocktail Party pour Matisse pour un immeuble parisien et The Sony Girls pour le Centre Sony de Lisbonne. Pour célébrer le passage à l’an 2000, la Galerie nationale du Jeu de Paume à Paris présente « Erró : images du siècle », exposition thématique qui sera reçue, en 2000-2001, à Charleroi, Marseille, Riga et Helsinki.
2000
Il expose des œuvres politiques au Bergen Kunstmuseum et au Hong Kong Arts Centre. Il participe à l’exposition « La Figuration narrative », qui s’installe à la Villa Tamaris de La Seyne-sur-Mer, puis au Bergen Kunstmuseum et au musée d’Art de la Ville de Reykjavík. Au centre commercial de Kringlan, à Reykjavík, il inaugure Silver Surfer, œuvre murale en céramique.
2001
À Paris, il participe à l’exposition du MNAM-Centre Pompidou Les Années pop. La collection Erró est présentée à Hafnarhús, nouveau bâtiment du musée d’Art de la ville de Reykjavík, à la faveur d’une grande rétrospective. À la FIAC – Foire internationale d’art contemporain, à Paris, la galerie Sonia Zannettacci montre les tableaux carrés de la série E-mail Breakfast.
2002
Il figure dans l’exposition « Paris, capitale des arts 1900-1968 » à la Royal Academy of Arts de Londres et au musée Guggenheim de Bilbao. Au Lieu d’art contemporain de la Ravine des Cabris (La Réunion), il installe un bas-relief, La Crucifixion du peintre, réalisé avec la participation des enfants de l’île. À l’espace Gustave Fayet de Sérignan, il expose sa série Saga of the American Comics.
2003
Des expositions personnelles sont organisées à la galerie Louis Carré & Cie, à Paris et à la Louis Stern Fine Arts Gallery, à Hollywood. Le Phœnix Art Sammlung Harald Falckenberg de Hambourg présente l’exposition « Erró, Fahlström, Köpcke, Lebel ».
2004-2006
Rétrospective de ses aquarelles, à la galerie Sonia Zannettacci, à Genève. D’autres rétrospectives de son travail se tiennent à New York (Grey Art Gallery), à la Havane (National Museum of Fine Arts), à Palma de Majorque, (Museu Es Baluard), à Mannheim (Mannheimer Kunstverein), à Valencia (Institute of Modern Art) et à Madrid (Sala Alcalá 31).
2004-2007
Il conçoit une fresque en céramique, inspirée de son tableau Science-fiction Scape, pour l’Art’s Business and Hotel Centre au Parc des Nations, à Lisbonne. Il réalise une frise en céramique basée sur sa série des « Femmes Fatales » pour la façade du musée d’Art contemporain de Sérignan. Il a une exposition personnelle au Today Art Museum de Pékin.
2008
Il est présent dans « Europop », au Kunsthaus Zurich, ainsi que dans « La Figuration Narrative, Paris 1960-1972 » au Grand Palais, à Paris, et à l’IVAM de Valence. Plusieurs de ses collages, liés à la science et à la science-fiction, sont sélectionnés pour l’« Experiment Marathon Reykjavík » à Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík. Il expose à la Mayor Gallery de Londres.
2009
Il conçoit une fresque en céramique consacrée aux « Femmes fatales » pour le collège Henri Rol-Tanguy de Champigny-sur-Marne. À Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík, est inaugurée l’exposition « Erró. Portraits », qui marque le vingtième anniversaire de la donation consentie par l’artiste à la municipalité.
2010
Une rétrospective de ses collages est organisée au Cabinet d’art graphique du Centre Pompidou, à Paris, ainsi qu’à Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík. Le musée d’Art moderne de Saint-Étienne expose ses dessins.
2011-2013
Son tableau Le Flux de la Sharpeville asexuée, saisi en 1961, lui est rendu par décision de la Cour d’appel de Milan. Des expositions personnelles prennent place à la Schirn Kunsthalle de Francfort, à la Fundació Stämpfli de Sitges, au Nordatlantens Brygge de Copenhague, à Hafnarhús, musée d’Art de la Ville de Reykjavík. Il participe à la 12e Biennale de Lyon.
2014
Il expose « La Saga des Comics américains 1973-1999 » à l’UNESCO, à Paris. Des expositions personnelles sont organisées au musée d’Art de Turku (Finlande), à Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík et à la galerie Louis Carré, à Paris. Son œuvre est l’objet d’une large rétrospective au musée d’Art contemporain de Lyon.
2014-2015
Il figure dans « Pop to Popism – Origins to New Wave » à l’Art Gallery of New South Wales de Sydney. Il conçoit deux œuvres murales, l’une peinte, l’autre en céramique, pour le quartier de Breiðholt, à Reykjavik. L’exposition « Erró – American Comics », présentée par la galerie Ernst Hilger de Vienne au Mana Contemporary de Jersey City en 2014, s’installe au Mana Contemporary de Chicago in 2015.
2015
Il participe à « La Résistance des images » à la Patinoire royale de Bruxelles et à « Picasso-Mania » au Grand Palais, à Paris. Il inaugure « Erró – From Comics to Picasso » au Musée Angerlehner de Thalheim bei Wels (Autriche) et « The Making of Erró: 1955-1964 » à Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík. Il prend part à « The World Goes Pop » à la Tate Modern de Londres et à « International Pop », qui démarre au Walker Art Center de Minneapolis avant d’être proposée au Dallas Museum of Art et, en 2016, au Philadelphia Museum of Art.
2016
Erró participe à « Carambolages » au Grand Palais, à Paris. Une exposition personnelle est organisée à la galerie Emmanuel Perrotin de New York. Il conçoit Alvogen Scape, œuvre en céramique, pour le groupe pharmaceutique Alvogen de Reykjavik. « Erró. Private Utopia » est montré au Ludwig Museum de Coblence et « Galaxie Erró » à la Fondation Folon, à La Hulpe (Belgique).
2017
Des expositions personnelles sont présentées à Hafnarhús, musée d’Art de la ville de Reykjavík, à la galerie Louis Carré & Cie de Paris, à l’espace Jacques Villeglé de Saint-Gratien et à la galerie Ernst Hilger, à Vienne.
2018
La galerie Sonia Zannettacci, à Genève, présente l’exposition « Erró, the second life ».
2021
La galerie Sonia Zannettacci, à Genève, présente l’exposition « Erró : aquarelles ».
Chronologie établie par Danielle Kvaran
Curatrice de la Collection Erró, Musée d’Art de la ville de Reykjavík
Expositions personnelles
1955 | Galleria Santa-Trinita, Florence. |
1956 | Galleria Montenapoleone, Milan. |
1957 | Maison des Artistes, Reykjavik. |
1958 | Musée National Betzalel, Jérusalem. |
Musée d’Art Moderne, Haifa. | |
1960 | Galerie Chirvan, Paris. |
Maison des Artistes, Reykjavik. | |
1961 | Galleria del Cavallino, Venise. |
Galleria del Naviglio, Milan. | |
1962 | Galerie J. Dols, Liège. |
1963 | Galerie Sydow, Francfort. |
Galerie Saint-Germain, Paris. | |
1964 | Gertrude Stein Gallery, New York. |
Eduard Smith Gallery, New York. | |
Galleria Schwarz, Milan. | |
1965 | Galleria l’Attico, Rome. |
Maison des Artistes, Reykjavik. | |
Galerie Saint-Germain, Paris. | |
Galerie J. Ranson, Paris. | |
1966 | Galerie Kaléidoscope, Gand. |
1967 | Galleria Schwarz, Milan. |
Galerie Krikhaar, Amsterdam. | |
1968 | Galerie Givaudan, Paris. |
Galerie Mandoza, Caracas. | |
1969 | A.R.C., Musée d’Art Moderne, Paris. |
Galerie Heland, Stockholm. | |
Galerie Givaudan, Paris. | |
Galerie Thelen, Essen. | |
Galerie Ostergren, Malmö | |
Galerie Haaken, Oslo. | |
1970 | Galerie André, Berlin. |
Galerie 3 Laplace, Paris. | |
Galerie Kerlikowsky, Munich. | |
Musée Galliéra, Paris. | |
1971 | Art-Club, Antibes. |
1972-73 | Galerie Boulakia, Paris. |
Galleria Arte Borgogna, Milan. | |
Galerie Benador, Genève. | |
Galerie Buchholz Kunstmarkt, Cologne. | |
Galerie Buchholz, Munich. | |
1974-75 | D.K. Boolhouse, Bangkok. |
« Let’s Mix All Feeling Together Baruchello, Erró, Fahlström, Liebig », | |
Städdisches Galerie im Lenbachhaus, München. | |
Frankfürter Kunstverein. | |
Städtische Museum Leverkusen Schlots, Morsbroish. | |
Arc 2. Musée d’Art Moderne, Paris. | |
Maison de la Culture, Rennes. | |
Louisiana Museum, Humblebaek. | |
Musée de Saint-Omer. | |
Musée des Beaux-Arts, Brest. | |
Palais des Papes, Avignon. | |
Sigma, Bordeaux. | |
Biennale de Venise (1975), « proposte per Mulino Stucky ». | |
Kunstmuseum, Lucerne. | |
Galerie Buchholz, Munich. | |
Europalia, Palais des Beaux-Arts, Bruxelles. | |
Galerie Lanzenberg, Bruxelles. | |
Gallerie Arte Borgogna, Milan. | |
Neue Galerie, Samlung Ludwig, Aachen. | |
1976 | Musée Despiau et Wlerick, Mont-de-Marsant. |
M.J.C, Saint-Etienne-du-Rouvray. | |
Rotterdamse Kunststichting, Rotterdam. | |
Galerie Beaubourg, Paris. | |
M.J.C., Chatelleraut. | |
O.K. Harris, New York. | |
Musée de la Culture, Amiens. | |
Musée d’Ethnographie, Bastia. | |
1977 | Ecole des Beaux-Arts, Angoulème. |
Centre d’Art, Flaine. | |
« Topino-Lebrun », Centre national d’Art et de Culture Georges Pompidou, Paris. | |
C.A.C., Chelles. | |
M.C.J., Mougins. | |
Galleria Lanzenberg, Ibiza. | |
Galerie Beaubourg, Paris. | |
Maison de la Culture, Poitiers. | |
1978 | « Topino-Lebrun », Centre national d’Art et de Culture Georges Pompidou, Paris. |
Vieille Charité, Marseille. | |
Maison de la Culture, Joeuf. | |
E.N.A.C., Toulouse. | |
Maison de la Culture, Longlaville. | |
Kjarvalshus, Reykjavik. | |
Galerie Buchholz, Munich. | |
Claude Givaudan, Genève. | |
Parco, Tokyo. | |
Parco, Sapporo. | |
Galerie Sven Hansen, Copenhague. | |
1979 | Galerie Beaubourg, Paris. |
Galleria Arte Borgogna, Milan. | |
Galerie Fred Lanzenberg, Bruxelles. | |
1980 | Galerie Impact, Vannes. |
Galerie Le Dessin, Paris. | |
1981 | Lunds Kunstall. |
Bergens Kunstforeing. | |
Nordiskt Kunstcentrem. | |
Sveaborg Kunstforeiningen. | |
Galerie Maeght, Zurich. | |
1982 | « Peinture Politique », Maison de la Culture, Chalon-sur-Saône. |
Galerie Jean Six, Paris. | |
Salle Demangel, Montpellier. | |
Musée Rigaud, Perpignan. | |
Musée des Beaux-Arts, Nîmes. | |
Tour Narbonnaise, Carcassone. | |
Musée Fabrégat, Béziers. | |
Galerie Le Dessin, F.I.A.C., Paris. | |
Art Front Gallery, Tokyo. | |
Musée Hedendaagse Kunst Utrecht. | |
1983 | Miroir d’Encre, Bruxelles. |
Galerie Jacqueline Storme, Lille. | |
Galerie Municipale, Edouard Manet, Gennevilliers. | |
Galerie Fernand léger, Ivry-sur-Seine. | |
« Erró sous l’eau », Piscine Municipale le Pré Saint-Gervais. | |
Galerie Electrochoc 2, Caen. | |
1984 | Centre Culturel Gérard Philippe, Brétigny-sur-Orge. |
Galerie Sonia Zannettacci, Genève. | |
Centre Culturel Pablo Neruda, Corbeil-Essonnes. | |
Espace des Cordeliers, Châteauroux. | |
Galerie d’Art Contemporain, Tours. | |
Galerie Poll, Berlin (avec Arroyo et Monory). | |
Galerie Miroir d’Encre, Bruxelles. | |
1985 | Galerie Loft, Paris. |
Galerie Gilbert Brownstone and Co., Paris. | |
Musée d’Art Moderne de la ville de Paris A.R.C. 2. | |
Musée de Dôle. | |
C.A.C., Monbéliard. | |
Stadtmuseum Rattingen. | |
C.A.C., Annecy. | |
1986 | Norreina Husid Reykjavik. |
Maison de la Culture, Le Havre. | |
Maison de la Culture, Bourges. | |
Galerie Municipale, Saint-Priest. | |
Musée du Château de Belfort. | |
Abbaye de Montmajour, Arles. | |
Biennale de Venise. | |
1987 | Galerie Jacqueline Storme, Lille. |
Galerie Montenay, Paris. | |
Festival International de la Bande Dessinée, Sierre. | |
Galerie Sonia Zannettacci, Genève. | |
1988 | Galerie Jacqueline Storme, Lille. |
Galerie Miroir de l’Encre, Bruxelles. | |
Centre d’Art Contemporain, Galerie Médiane, Carré Vert, Rouen. | |
1989 | Galerie Vincent, Saint-Pierre, Ile de la Réunion. |
Musée Municipal, Reykjavik. | |
Galerie Montenay, Paris. | |
F.N.A.C., Rouen. | |
1990 | Galerie Sonia Zannettacci, Genève. |
Centre d’Art Contemporain, Mont-de-Marsan. | |
Cité des Sciences et de l’Industrie La Villette, Paris. | |
1991 | Centre Gérard Philippe, Cergy-Pontoise. |
Galleria Leroica, Milano. | |
Galerie 1000-2000, Paris. | |
Galerie Fandos, Valence. | |
Galerie Jacqueline Storme, Lille. | |
1992 | Galerie Berggruen & Cie, Paris. |
Pavillon Français, Exposition Universelle, Séville. | |
Centre Culturel Nicolas Pomel, Issoire. | |
F.I.A.C. Galerie Montenay, Paris. | |
1993 | Musée d’Orange |
Musée de Saumur | |
Charlottenborg, Kobenhavn. | |
Porin Taidemuseo, Porin. | |
Göterborgs Kunstmuseum, Kunsthallen, Göterborgs. | |
1994 | Galerie Sonia Zannettacci, Genève. |
Palais des Congrés, Paris. | |
Fruitmarket Gallery, Edinburg. | |
Karolina Ceske Museum Vytvarnych Umeni, Prague. | |
Galerie Montenay, Paris. | |
1995 | Galerie Jacqueline Storme, Lille. |
Qoi de neuf, docteur?, Le Salon d’Art, Bruxelles. | |
L.A.C. Salon d’Art Contemporain, Hameau-du-Lac, Sigean. | |
Galerie 56, Budapest. | |
1996 | Von Mao bis Madonna, Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Wien. |
Erró. Political Painting, Wilhelm-Busch Museum, Hannovre; Aktionsforum Praterinsel, Munich; Kunsthaus, Hambourg; Haus Am Waldsee, Berlin, Allemagne; Ludwig Museum, Budapest, Hongrie; Galeria Mesta Bratislavy, Bratislava, Slovaquie | |
Galerie Galax, Göteborg, Suède | |
1997 | femmes fatales, Galerie Sonia Zannettacci, Genève. |
1999 | Erró images du Siecle, Galerie nationale du Jeu de Paume, Paris, France. |
2000 | Compositeurs classiques, contrepoints, Galerie Sonia Zannettacci, Genève. |
Casa France-Brésil, Rio de Janeiro, Brésil. | |
Museo Universiterio Contemporaneo de Arte, Mexico, Mexique | |
Museo de Arte Moderno, Monterrey, Mexique. | |
Musée des Beaux-Arts, Charleroi, Belgique | |
Erró: Images du siècle, Musée d’Art Contemporain, Marseille, France | |
Erró, Political Painting, Bergen Billedgalleri, Bergen Kunstmuseum, Bergen, Norvège; Norsk Vasskraft og Industriads Museum, Odda, Norvège; Fylkesgalleriet, Forde, Norvège; Hong-Kong Arts Center, Hong-Kong | |
Erró, les femmes fatales, Musée des Beaux Arts, Caen, France | |
Antologia 1966-2000, Galeria Barro Alto, Lisbonne, Portugal | |
Contrepoints 1978-1983, Galeria Antonio Prates, Lisbonne, Portugal | |
2001 | Helsinki City Art Museum, Helsinki, Finlande |
The Erró Collection, Reykjavik Art Museum-Harbour House, Reykjavik, Islande | |
Collages 1958-2000, Galerie Ernst Hilger, Vienne, Autriche | |
Erró: Rivisitando il passato, Galleria Tega, Milan, Italie | |
E-Mail Breakfast, Galerie Sonia Zannettacci, FIAC, Paris, France | |
2002 | Erró, La saga des comics américains, Espace Gustave Fayet, Sérignan, France |
Erró, Renault et l’Art, Espace Renault, Boulogne-Billancourt, France | |
2003 | Erró, Hommage à Walt Disney, Galerie Louis Carré et Cie, Paris, France |
MErrólyn Monroe and her friends, Galerie Ernst Hilger, Vienne, Autriche | |
2004 | Boulgakov ou l’Esprit de liberté, avec Klasen et Monory, musée National des Beaux-Arts, Kiev, Ukraine |
Worldscapes: The Art of Erró, Grey Art Gallery of New York University, New York, U.S.A. | |
Erró: Les Femmes fatales, Goethe-Institut, New-York, U.S.A | |
Mao’s last Visit to Venice, Lillian Vernon Center for International Affairs, New York University, New York, USA | |
Erró, tableaux chinois, Musée de la Tapisserie, Aix-en-Provence, France | |
Les Amazones en proverbes, Galerie Louis Carré et Cie, Paris, France | |
Erró, IUFM Confluence(s”), Lyon, France | |
Erró, Obras 1958-2003, Museo Nacional de Bellas Artes, La Havane, Cuba | |
Erró, aquarelles, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse | |
2005 | Nos femmes, (avec Jean-J acques Lebel, Rancillac, Télémaque) Frissiras Museum, Athènes- |
Erró, Retrsdpectiva 1958-2004, Fundacio Es Baluard, Museu d’Art Modern i Contemporani, Palma de Majorque, Espagne | |
Erró, Retrospkctive 1958-2004, Mannheimer Kunstverein, Mannheim, Allemagne | |
Art & Politics : Erró, Fahlström, Köpcke, Lebel, Museum der Bildenden Künste, Leipzig, Allemagne. | |
2006 | Erró. El gran collage del mundo, Institut Valencià d’Art Modern et Sala Alcalà, Madrid, Espagne |
The Forgotten Future (aquarelles 1981-2004) galerie Louis Carré & Cie, Paris, France | |
2007 | Erró, centre d’Art contemporain, domaine de Lescombes, Eysines, France |
Dolls and Molls. A selection of Erró’s paintings, Today Art Museum, Beijing, Chine | |
2008 | Figuration narrative. Paris, 1960-1972, galeries nationales du Grand Palais, Paris, France |
Erró, le fou d’images, Musée de Louviers, France | |
Erró. Never on Sundays, Fine Arts Kapopoulos gallery, Athènes, Grèce | |
Erró, Aladins alphabet, Gallery Luc Pieters, Knokke-le-Zoute, Belgique | |
2009 | Erró – Portrett, Reykjavik Art Museum, Reykjavik, Islande. |
Erró. les briseuses de cœur et les petits enfants de Mao, galerie Sonia Zannettacci, Genève Suisse | |
2010 | Erró, 50 ans de collages, cabinet d’art graphique, musée national d’Art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, France |
Erró, Glycérophtalique 1990-2010, galerie Louis Carré & Cie, Paris, France | |
Erró, dessins, musée d’Art moderne de Saint Etienne Métropole, Saint-Etienne, France. | |
2011 | Erró/Jean-Jacques Lebel, 1955-2011, Hilger Brot Kunsthalle, Vienne, Autriche |
Erró : Porträt und landshaft, Schirn Kunsthalle, Frankfurt, Francfort, Allemagne. | |
2012 | Trente tableaux carrés pour la galerie Carré, galerie Louis Carré & Cie, Paris, France |
2013 | De Chaissac à Hyber, parcours d’un amateur vendéen, Historial de la Vendée, les Lucs-sur-Boulogne, France |
Erró. Old Ideas, new paintings, galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse. | |
2014 | Erró. Saga of American Comics 1973-1999, Hall Ségur et salle des Pas-perdus, maison de l’Unesco, Paris, France |
Erró, Rétrospective, musée d’Art contemporain (MAC), Lyon, France | |
2015 | Erró, 50 collages, galerie Louis Carré & Cie, Paris, France |
2016 | Erró, paintings from 1959 to 2016, galerie Perrotin, New York, U.S.A |
Erró. Visages, Galerie Sonia Zannettacci, Genève , Suisse | |
2018 | Erró : The second life, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse |
2021 | Erró : Aquarelles, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse |
2023 | Erró : Collages, Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse |
Expositions personnelles d’Erró à la galerie Sonia Zannettacci
1984 | Erró |
1987 | Erró Pêcheur d’Islande |
1990 | Erró World Without Christmas |
1994 | Erró Aquarelles |
1997 | Erró Femmes fatales |
2000 | Erró Compositeurs classiques contrepoints 1978-1983 |
2005 | Erró Aquarelles |
2009 | Erró Les briseuses de cœurs & les petits enfants de Mao |
2013 | Erró Old ideas, new paintings |
2016 | Erró Visages |
2018 | Erró The second life |
2021 | Erró Aquarelles |
2023 | Erró Collages |
Collections publiques
Harald Falckenberg, Phoenix Kulturstiftung, Hambourg, Allemagne
Staatliche Museen zu Berlin, Nationalgalerie, Berlin, Allemagne
Städtische galerie im Lenbachhaus, Munich, Allemagne
Suermondt-Ludwig-Museum, Aix-la-Chapelle, Allemagne
Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Vienne, Autriche
Bibliotheca Wittockiana / Fondation Roi Baudoin, Bruxelles, Belgique
Musée des Beaux-Arts de Montréal, Canada
Museum of Modern Art, Séoul, Corée du Sud
Museo Nacional de Bellas Artes de La Habana, Havana, Cuba
Kunstmuseum, Randers, Danemark
Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, Danemark
Alcala 31, Sala de Exposiciones, Consejeria de Cultura Y Deporte, Madrid, Espagne
Instituto de Arte Moderno, Valencia, Espagne
MNCA – Reina Sofia, Madrid, Espagne
Office Municipal de San-Francisco Javier, Formentera, Espagne
Fondation Stämpfli, Sitges, Espagne
Bibliothèque nationale de France, cabinet des estampes, Paris, France
Carré d’Art Jean Bousquet/ Musée d’art contemporain, Nîmes, France
Collection de la Réunion des Musées Nationaux (RMN) Paris, France
Fond National d’Art Contemporain (FNAC) Paris, France
Fond Régional d’Art Contemporain (FRAC) Franche-Comté, France
Fond Régional d’Art Contemporain (FRAC) Île de la Réunion, France
Fond Régional d’Art Contemporain (FRAC) Languedoc-Roussillon, France
Fond Régional d’Art Contemporain (FRAC) Rhône-Alpes, France
Fondation Louis Vuitton, Paris, France
Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul de Vence, France
Hôtel de Ville, Lille, France
Hôtel des Invalides, Paris, France
Institut d’art contemporain Rhône-Alpes, France
La Villette, cité des Sciences et de l’industrie, Paris, France
Musée Bertrand, Châteauroux, France
Musée Cantini, Marseille, France
Musée d’art contemporain de Dunkerque, France
Musée d’art moderne, Saint-Étienne, France
Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris, France
Musée d’art moderne de Lille Métropole, France
Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, France
Musée Picasso, Antibes, France
Collection de la Ville de Choisy-le-Roi, France
Fondation Vincent van Gogh, Arles, France
MAC/VAL, musée d’art contemporain du Val-de-Marne, France
Musée d’Art Contemporain (MAC) Lyon, France
Musée de Grenoble, France
Musée des beaux-arts de Dole, France
Bibliothèque nationale du Groënland, Nuuk, Groënland
Reykjavik City Museum, Reykjavik, Islande
Listasafn Islands / National Gallery of Iceland, Reykjavik, Islande
Bezalel museum, Jérusalem, Israël
Museum of Modern Art, Tel-Aviv, Israël
Hara Museum of contemporary Art, Tokyo, Japon
Musée national d’histoire et d’art de Luxembourg (MNHA), Luxembourg
Astrup Fearnley Museum, Oslo, Norvège
Kunstmuseum, Bergen, Norvège
Amsterdam Museum, Amsterdam, Pays-Bas
Centraal Museum, Utrecht, Pays-Bas
Museum Hedendaagse Kunst Utrecht, Pays-Bas
Museu Coleçao Berardo/Arte Moderna e Contemporânea, Lisboa, Portugal
Muzej Savremene Umetnosti / Belgrade Museum of Contemporary Art, Belgrade, Serbie
Konstmuseet arkiv for dekorativ konst, Lund, Suède
Konstmuseum, Göteborg, Suède
Moderna Museet, Stockholm, Suède
Fondation Gandur pour l’Art, Genève, Suisse
Kunstmuseum (Donation Loeb), Berne, Suisse
Musée d’art moderne et contemporain (MAMCO), Genève, Suisse
National Air and Space Museum, Washington, D.C., U.S.A.
The Museum of Modern Art (MOMA), New York, U.S.A.
Filmographie
1962 | « Concerto mécanique pour la folie, Mécamorphoses « Film 16 mm, couleur, 60 min. Réalisé par Erro et Eric Duvivier. |
1962-67 | « Grimaces « . Film 16 mm, noir et blanc, 45 min. Réalisé par Erro avec la participation de François Dufrêne. Production : Givaudan. Musique : François Dufrêne. Montage : Denise de Casabianca avec la participation de Erro. |
1966 | « Stars « . Film 16 mm, muet, noir et blanc, 10 min. Réalisé par Erro. Production et distribution : Givaudan. |
1978 | « Erro « . Film 16 mm, couleur, 30 min. Pour les séries: Artistes de notre temps, montré le 6. 01. |
1978 | Réalisé par Georges Paumier. Ecrit par Michel Lancelot. Produit par A2. Distribution : I.N.A. Version française. « Erro « . Film couleur. 45 min. Réalisé pour la télévision icelandaise. |
1982 | « Expostion Villeparisis « . Vidéo de 12 min. Réalisé par Dominique Abensour. Produit et distribué par le Musée National d’Art Centre Georges Pompidou. |
1983 | « Erro », un mercredi pas comme les autres ». Film 16 mm. Couleur. 13 min. Séries :Peinture fraîche. Réalisé par Jean Labib. Produit par TF1 et C.N.A.P. Distribution: C.N.A.P. Version française. |
Bibliographie
Sager Peter: Neue Formen der Realismus. Kunst zwischen Illusion und Wirklichkeit. Köln. 1973.
Jouffroy Alain: Les Pré-voyants. Bruxelles. 1974.
Amman Jean-Christophe: Erro. Tableaux Chinois. Lucerne. 1975.
Erro. Catalogue général. Ed. Chêne, Paris. 1976.